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La danse orientale… et ses nombreuses facettes


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Sujet ouvert par : Gwendoli83 / Voir sa fiche

La danse orientale… et ses nombreuses facettes

Lexique des différents termes et styles de danse orientale.

Certains l’appellent danse du ventre, d’autres baladi ou raks sharki. Les américains l’appellent « belly dance » et parfois même « dance oriental ». Autant de noms… pour parler d’une même danse.

Au fil des ans, j’ai effectué des recherches sur les différentes facettes de la danse orientale. Je vous livre ici l’essentiel de mes résultats. Je ne suis pas une experte en la matière, ça ne fait que 9 ans que je pratique la danse orientale, mais j’ose espérer que ces informations fourniront des pistes pour toutes les passionnées.

Pour moi, la danse orientale peut être représentée par un grand arbre. Il y a des branches très anciennes, très solides, ancrées dans l’arbre avec une force et une vigueur qui lui ont permis de survivre au fil des ans. Il y a des branches toutes nouvelles et flexibles qui agrémentent le même arbre pour le rendre encore plus beau et impressionnant. Ensemble, elles composent un arbre magnifique – car aucune de ces branches n’est plus importante que l’autre. Elles sont tout simplement différentes.

Baladi
Le terme baladi est utilisé au Québec. Probablement pour redorer le blason de la danse orientale qui s’appelait alors « danse du ventre » et qui était présenté entre deux effeuilleuses dans les clubs. Malgré tout son art, sa grâce et sa technique, la danseuse orientale était plongée dans un univers « plus que sensuel » l’associant directement à la sexualité. En 1980, Micheline D’Astous écrit un livre « LE BALADI APPRENDRE LA DANSE DU VENTRE1 ». Le terme fait son chemin et vient s’ancrer dans le vocabulaire des danseuses québécoises.
Malheureusement, le terme fait référence à un rythme arabe en particulier comme le malfouf, le ayoub, le saidi...
Certains percussionnistes pourraient donc trouver que vous avez un répertoire limité si vous leur dite que vous faites du baladi.

Danse orientale
C’est le terme qui prend le relais depuis quelques années. Nathalie Lebel, ancienne éditrice en chef du magazine Papyrus, avait écrit un article à ce sujet il y a quelques années. Le terme en lui-même confuse parfois les gens qui croient qu’on parle d’une danse asiatique mais, selon Morocco2, la traduction plus juste de raks sharki est justement « danse orientale »

Cabaret
Ansuya dit exercer le style “cabaret” tel que l’a expérimenté sa mère Jenaeni, une danseuse orientale populaire à Los Angeles et New York dans les années 60 et 70. Ce style est un mélange de plusieurs styles. En effet, à cette époque, il n’y avait pas les nombreuses ressources actuelles . À New-York, par exemple, les danseuses de style cabaret amalgamaient des pas marocains, turcs, égyptiens, etc. sans se poser trop de questions. Elles côtoyaient des danseuses et musiciens de différents pays et utilisaient tout simplement ce qui leur plaisait. Le style cabaret a 5 parties : entrée avec le voile, un numéro avec cymbales, une pièce lente au sol, un solo de percussions puis
une grande finale.

Raks Sharki
Le terme signifie “danse de l’est” selon certains, « danse orientale » pour d’autres. C’est un style très populaire au Québec. Le raks sharki tire sa source en Égypte, mais a été « ballétisée » comme le dirait Elizabeth Artemis

The Ethics of Ethnic. By Morocco
Mourat3. Le port de bras, les isolations spectaculaires, la demi-pointe sont des cadeaux du ballet classique. La théorie qu’on m’a donné à ce sujet est que, pour rendre la danse orientale plus accessible au monde entier et la sortir officiellement des rues pour aller sur les grandes scènes, un grand chorégraphe aurait voulu y mettre des
structures empruntées au ballet classique.
Le même phénomène s’est passé en Turquie avec la venue au pouvoir de Mustafa Kemal Ataturk au début des années 1900. Ce dernier ne voulait plus voir de danse orientale dans les rues, alors les danseurs se sont adaptés pour leur survie.

Une présentation « raks sharki » comprend une structure similaire au style « cabaret ». Elle comprend une entrée avec voile, une pièce classique ou moderne, un solo de percussions et une finale.

Great American Belly Dance
Ce terme est rare, j’ai entendu Artemis le mentionner pour la première fois l’an passé. Elle explique que c’était le terme employé dans les années 1960 où les danseuses orientales utilisaient un peu de tout sans en connaître l’origine. Ça ressemble un peu au style cabaret tel que décrit par Ansuya. Selon les écrits d’Artemis, ce terme aurait été utilisé par Ibrahim Farrah. C’était l’ère de la « fusion » totale des différentes ethnies sur place. Dans les années 1970, des études ont été entamées par des artistes de renom tels qu’Aisha Ali, Ibrahim Farrah, Laurel Gray, Morocco, pour n’en nommer que quelques uns, pour mieux comprendre les origines des styles et mieux cerner leurs différences.
De nos jours, nous avons accès à une foule d’information pour mieux comprendre d’où proviennent les mouvements et respecter les cultures impliquées.

Égyptien
Le terme « égyptien » est parfois utilisé pour se différencier des autres et pour exprimer une racine uniquement égyptienne. La danseuse de ce style utilise essentiellement une musique classique et moderne produite en Égypte et contenant les rythmes arabes4.

Saidi
Style folklorique de la Haute-Égypte. Le style saidi se danse souvent avec une canne, parfois même avec un bâton Danser avec le bâton était exclusif aux hommes pendant longtemps. Cette danse s’appelait « tahtib » et ressemble aux arts martiaux. Le style saidi est très « groundé » et joyeux. La canne représente pour certains l’homme, le partenaire de la danseuse et elle danse avec lui avec respect et fermeté. Il devient alors son extension.

Tribal Américain
Le style tribal américain est né sur la côte ouest des Etats-Unis dans les années 1990. C’est une improvisation synchronisée de groupe. Il y a un meneur et des suiveurs, qui peuvent changer régulièrement et allègrement pendant une présentation. Les mouvements appartiennent à toute la famille de la danse orientale et on y inclus des mouvements des autres danses tels que la danse de l’Inde, de l’Espagne…Ces mouvements sont codés pour être lus par les suiveurs lors d’une présentation.
Il existe différentes facettes au tribal… Du tribal gothique, du « tribaret » qui consiste en des numéros de style cabaret en costume tribal, du tribal urbain, etc. Cette nouvelle « branche » ne fait que commencer alors nous y verrons certainement beaucoup d’expérimentation.

Turc
Le style turc est aussi ancien que le style égyptien. Il était dit que les danseuses turques pouvaient « faire fondre de la pierre » (And). Certaines théories proposent même que la danse orientale soit originaire de la turquie bien qu’il soit plus probable que l’influence des grecs, romains et perses soient en cause. En 1834, les danseuses égyptiennes ne pouvaient plus danser sous peine de recevoir 50 coups de fouet ou une à deux années de travaux forcés. Certaines ne pouvant faire autre chose se sont rendues en Turquie, inspirant ainsi les danseuses locales. Quand les danseuses turques ont été bannies de la Turquies, elles sont allées en Égypte. Cette « pollenisation » entre les deux cultures font que de nos jours il y a des mouvements turcs et égyptiens intiment
liés dans la danse.
Le style turc d’aujourd’hui se distingue de l’égyptien parce qu’il a une racine rom (gitane). La danse est donc très « groundée », plus agressive que la gracieuse égyptienne et contient un grand vocabulaire de gestuelle qui s’avère parfois être à double sens. On se frappe les hanches, on saute, on se roule par terre. Pendant une longue période, le style égyptien ne comportait plus de travail au sol, devenu illégal. Le style turc l’a conservé, ce qui devenait une autre façon de reconnaître le style.

Gawazee
Dans mes théories, les gawazee font partie des roms qui sont arrivés en Égypte au 14e siècle et qui se seraient mêlés aux artistes de rue déjà existants. Elles étaient appelées les « envahisseurs des coeurs » (Marre et Charlton). Les mouvements de bassins, les positions très groundées, le costume comprenant d’abord les pantalons harems et la veste passant en-dessous de la poitrine tel que porté par les dames de la cour pendant l’empire Ottoman me secondent dans cette idée. Dans le style gawazee, on travaille essentiellement avec des shimmy des hanches : en latéral, en déplacement, en avançant, vers l’arrière… Les bras sont levés, les sagates jouant des rythmes simples 1-2 ou 1-2-3.

Rom (gitan)
Le terme « rom » est le terme acceptable pour parler de ce style de danse; gypsy étant péjoratif. Les roms sont un peuple qui a émigré de l’Inde vers le IXe et Xe siècle bien que ne connaisse pas les raisons exactes qui ont déterminé leur départ. Leurs premières migrations les ont conduits du nord de l'Indus vers l'Iran, la Grèce et l'Europe via l'Empire byzantin. Certains roms se sont établis en Turquie, établissant une racine gitane importante et essentielle au style turc oriental, d’autres roms ont continué vers l’Afrique, l’Espagne et l’Égypte. On peut donc dire qu’il existe plusieurs « saveurs » roms en fonction de la région exprimée. Les roms de la turquie ne dansent pas de la même façon que les roms en Égypte, bien que plusieurs éléments soient pareils.

Andalou
Le mot “Andalou” fait référence à un pont historique entre l’Espagne et l’Afrique du Nord pendant l’empire Ottoman. Les pays occupés ont été influencé et ont créé une nouvelle danse avec la venue de nouveaux danseurs.

Guedra
La guedra est une danse rituelle sacrée du « peuple bleu » du Maroc. Ces Berbères Touareg performent cette danse de bénédiction en cercle. Un groupe chante et fait de la musique à l’aide de différentes percussions; sans oublier un tambour appelé « Guedra » qui est un chaudron de céramique recouvert d’une peau. Une femme ou deux danse alors ce rituel particulier qui se différencie du zar et de l’hadra parce qu’il bénie plus qu’exorcise.

Khaleegy
En Arabie Saoudique et la région du Golfe, cette danse est faite par des femmes en magnifiques robes appelées thobe nashal. Cette danse se fait avec les cheveux dénoués qui seront mis en valeur de plusieurs façons.

Perse
La danse perse fait référence à la région maintenant connue comme l’Iran. Il existe plusieurs styles de danse perses, du classique au contemporain, du folklore à l’urbain. Malheureusement, à part Helen Eriksen, je ne connais pas beaucoup de ressources en la matière.

Schikhatt
Les Schikhatts sont les danseuses professionnelles du Maroc. La traduction directe est « sage femme » et leur rôle, tel qu’expliqué par Jajouka de New-York, est d’instruire la nouvelle mariée à son rôle conjugale. La religion et la société lui demandant d’être vierge, la danseuse schikhatt doit donc lui expliquer par la danse de quelle manière elle devra « bouger au lit ». Les coups de bassins sont donc très marqués ainsi que le mouvement des hanches. Il y a beaucoup de contradiction dans cette danse – la danseuse schikhatt est très importante, voire essentielle, mais aucune femme de « bonne famille » ne veut tenir ce rôle !

Hagallah
Hagalla réfère à la musique, à la danse et à la danseuse. Originaire de Libie, elle est dansée par le peuple bédouin de l’Égypte de l’Ouest. La danseuse est très couverte, voilée, et fait un shimmy continu en avançant et reculant en face d’une rangée d’hommes qui tapent des mains et chantent à unisson. Un de ces hommes sera choisi par la danseuse pour sortir du rang et danser avec elle.

Melaya Leff
Melaya Leff est une danse joyeuse et taquine. Il en existerait deux versions : du Caire et d’Alexandrie. La melaya est en fait une grande couverture dans laquelle s’enroule la danseuse. Habillée d’une robe courte et moulante, celle-ci « flirte » discrètement et parfois ouvertement tout en mâchant de la gomme balloune. Variant ses expressions de « coquette » à « diva intouchable ». Cette danse est un réel jeu de théâtre.
Zar

Le zar (parfois écrit zaar) est un rituel d’exorcisme fait dans un état de transe. Il est originaire du Sudan, mais il est également populaire en Égypte. La danse commence sur un rythme lent, la danseuse suit la cadence comme elle le sent. Le rythme augmentera graduellement jusqu’à un rythme percutant et très rapide. Lala Hakim a déjà écrit un article à ce sujet dans Papyrus, donnant beaucoup de détails fort intéressants.

Je vous mettrai quelques clips de ces différentes danses



Les Réponses au sujet (Page 4)



Message de: Gwendoli83 / Voir sa fiche

Samia

http://www.youtube.com/watch?v=VBeGgezZUaQ

 


Message de: Gwendoli83 / Voir sa fiche

Plusieurs d'entre vous m'ont demandé en quoi constituait mon métier, c'est de danser. Je suis danseuse orientale et me produis dans un show qui m'est personnel ou au sein de différentes troupes

Une vidéo d'un endroit ou je me produis souvent à Marrakech. Pour les observateurs, j'ai une tenue pailletée argent

http://www.youtube.com/watch?v=RtxYTYFQBDM

 


Message de: Gwendoli83 / Voir sa fiche

Un article pour répondre aussi sur les bienfaits que me procure cette danse


Pratiquement chaque femme aimerait préserver le plus long temps possible sa beauté, la souplesse de son corps, le charme de sa peau et la grâce de ses mouvements. En poursuivant ce but la belle moitié de l’humanité a recours aux exercices dans les salles de sport, aux régimes plus ou moins épuisants. Ces moyens donnent leurs fruits pour quelque temps, mais ils restent lassants et fatigants. Mais il y a plusieurs milliers d’années, en Orient, on a trouvé un moyen pour préserver la jeunesse et la beauté, qui n’oblige pas à accabler son corps avec des entraînements difficiles, mais qui procure la joie et le plaisir à celle qui le pratique et à ceux qui la regardent.

La danse orientale améliore non seulement la santé physique d’une femme, mais elle a aussi de l’influence sur son bien-être psychologique. Ça s’explique par le «travail» de tous les centres énergétiques. Une femme commence à être plus sûre d’elle-même, à croire à son attirance qui ne dépend pas de l’âge ou du physique.




La danse peut aider à installer plus d’harmonie dans sa vie privée et intime, à enlever la nervosité et le tendu de ses relations avec les autres.

La technique de la danse orientale a beaucoup de petits secrets. L’un de ces secrets, entre autres, c’est l’exécution de tous les mouvements dans un état de mollesse corporelle. Une bonne danseuse possède une plastique fluide dans le corps. Avec chaque mouvement, elle modèle son corps comme si elle était faite d’argile. L’acquisition de la méthode de relaxation, de l’alternance de tension et de relâche dans les muscles pendant l’exécution des enchaînements entraîne le corps pour supporter des efforts durables et variés.

La danse augmente le tonus du corps, l’alternance des éléments de la danse arabe – de mouvements fluides, plus brusques et de tremblements - rend les muscles et les ligaments plus souples. Le tremblement joue le rôle d’un massage unique des organes génitaux, de l’intestin, et aussi des seins qui permet d’empêcher la stagnation sanguine dans les organes et les tissus, d’améliorer la circulation du sang et le péristaltisme de l’intestin.

La danse active pratiquement tous les niveaux de la colonne vertébrale, renforce les muscles du dos et de la région lombaire. Le maintien s’améliore, le dos voûté disparaît, les mouvements sont plus gracieux. La particularité de cette danse, c’est qu’on fait les mouvements sur les genoux souples, fléchis, c’est qui permet de diminuer l’effort dans les articulations de la cheville et du genou.

Les mouvements des bras et des épaules renforcent les muscles intercostaux et de la poitrine, ce qui aide à préserver pour des longues années de jolies formes au torse.

La danse à long terme corrige la silhouette, souvenez-vous du standard oriental de la beauté : une taille fine, une poitrine développée, des hanches rondes. La danse orientale favorise un re-modelage de la silhouette selon ce type de figure, le corps change. Ce n’est que le bienfait visible qui attire surtout les débutantes. Mais qu’est-ce qui nous pousse à poursuivre ce chemin une fois que la technique est acquise ?

La nature créative est propre à l’esprit féminin. La danse arabe propose tout un champ pour se réaliser et pour ouvrir son potentiel intérieur. Tout commence par l’acceptation de soi-même, particulièrement de son corps et de son apparence. Acceptez-vous telles que vous êtes et vous accepterez ceux qui sont autour de vous. Plus on apprivoise la technique de la danse, plus l’image de soi-même change pour le mieux. On commence à comprendre que la vraie beauté extérieure d’une femme est une réflexion de ses états intérieurs. Le fait d’être unique et incomparable est souligné dans la danse orientale. Les éléments de base faits par des femmes différentes font une impression différente, chacune donne quelque chose d’elle selon sa manière d’être. Plus une femme a une image valorisée d’elle-même, plus elle devient libre, intéressante pour son entourage et pour elle-même. Elle commence à comprendre sa singularité, et le monde se met à briller de milles couleurs. Après quelques mois de cours, une fois que les éléments de base sont acquis, chacune peut créer sa propre danse qui reflétera sa perception du monde. La possibilité de créer donne le début de son développement spirituel harmonieux.



Chaque danse doit avoir un contenu, parce que l’histoire qui est derrière est aussi importante que la partie technique.

La danse peut donner aux spectateurs une idée de beauté et d’harmonie qu’ils n’ont pas dans leur vie quotidienne. En ce moment, beaucoup d’importance est attachée à la personnalité de la danseuse. Quel est son monde intérieur ? Quelles sont ses valeurs ? Le temps vient pour chaque danseuse de se poser ces questions. On ressent alors un besoin constant d’apprendre de nouvelles choses, de perfectionner celles qu’on a déjà.

Il est curieux qu’on puisse apprendre du nouveau à son propre sujet. Par exemple, au sujet de ses complexes… Peu de gens savent que le blocage dans la partie haute du corps peut indiquer de la difficulté dans la communication ouverte et chaleureuse avec les autres, le blocage au niveau du bassin peut donner un indice sur la sexualité déprimée. Pour résumer, la danse orientale n’est pas qu’un amusement, c’est un phénomène. Ce n’est pas par hasard qu’on l’appelle « la danse de la joie ». Cette danse belle et complexe ne tolère pas que l’on fasse quelque chose contre soi, sans plaisir. Chaque mouvement doit provoquer un plaisir physique. On ne doit rien faire à contrecœur ou malgré la fatigue, comme on le fait dans une salle de sport ou dans la danse sportive. Un tel effort détruirait toute la philosophie intérieure de la danse orientale.

Aujourd’hui on peut conditionnellement distinguer trois parties dans la danse orientale. C’est le taqsim, la danse elle-même et le tremblement. Taqsim est dansé sur une musique lente, un solo ou une improvisation d’un musicien au début ou au milieu du morceau, la danseuse reste sur place et danse avec son corps. La danse elle-même a beaucoup d’éléments, la musique est rythmée et entraînante. Le tremblement, c’est une vibration dans tous le corps ; ou dans ses parties isolées, qui est créée par le travail des genoux, des épaules ou des muscles des cuisses et des fessiers. L’improvisation est à la base de cette danse.





 


Message de: Gwendoli83 / Voir sa fiche

Tagsim

http://www.youtube.com/watch?v=u4oE0F6cbn0

 


Message de: Guercif34 / Voir sa fiche

Bonjour Gwen, je voudrais exercé raks sharki, mais je sais pas ou je peut l'exercer.. J'habtie a béziers dans le sud , c'est une petite ville & donc je sais pas si il y a des endroit ou on peut l'apprendre.

 


Message de: Catelina / Voir sa fiche

Bsr. Je mets un message c'est juste pour que tu restes en haut de l'affiche , car c'est tjrs intéressant de se coucher avec un peu plus de connaissances que la veille !

 


Message de: Lilichoco / Voir sa fiche

Bonjour,


super le sujet, je vais faire un stage avec Rajaa une excellente danseusen tu prends des cours à quel endroit ?

 
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